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Lire plus Très très fort, d'une efficacité redoutable! Il ne devrait pas y avoir de saison 3 de La casa de papel. Non pas qu'elles aient été désagréables, mais tout de même on s'est un peu foutu de ma gueule.
Consultado el 3 de mayo de 2018. Force est de constater que la. Et c'est aussi ce qui fait son charme. La saison 2, seconde partie contenant initialement 6 épisodes, est rediffusée resistance à elle en 9 épisodes par la chaîne américaine à partir du 6 avril 2018. Au lieu de 9 épisodes, cette première saison en comporte donc 13. Peuvent-ils encore lui faire confiance?.
Et ce n'est pas tous les jours que cela arrive. Les premiers épisodes sont tout simplement géniaux. Déjà les personnages complètement clichés du début à la fin.
La casa de papel - Cette passion un peu creuse semble davantage servir d'élément perturbateur que de réelle trame secondaire. Un autre type de masque, inspiré par d', fait également son apparition lors d'un épisode.
SÉRIES TV - La série est arrivée en France dans la plus grande discrétion. Pas de bande-annonce officielle sur YouTube, pas de pub dans les transports, rien. À peine deux mois plus tard, a tout l'air d'un succès. Est-ce la prochaine série dans laquelle vous devez absolument vous plonger? Le HuffPost fait le tour de la question. Après avoir passé des années à préparer son coup, cet individu dont la véritable identité est inconnue de tous passe à l'étape finale de son plan en recrutant huit repris de justice qui n'ont rien à perdre. Pour intégrer le groupe et protéger leur identité, ces hors-la-loi choisissent de remplacer leur prénom par des noms de villes: Tokyo, Nairobi, Río, Moscou, Berlin, Denver, Helsinki et Oslo. Pénétrer dans la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre, s'y enfermer pendant une dizaine de jours et y imprimer 2,4 milliards d'euros tout en gardant un œil sur les 67 otages qui leur permettront de ne pas être délogés par les autorités. Sauf que cela pourrait mal se terminer. Découvrez la bande-annonce ci-dessous. Pour les amateurs du genre et plus Si l'Espagne s'est fait un nom à l'international avec son cinéma, on ne peut pas en dire autant avec ses séries TV. Si les aventures des jeunes chanteurs et danseurs de l'Académie de Carmen Arranz ont fait les beaux jours de M6, elles ne se sont pas vraiment imposées comme un gage de qualité qui donne envie de se précipiter les yeux fermées sur toute nouvelle création venue de la péninsule Ibérique. Les habitués de Netflix y retrouveront les caractéristiques communes à ses séries originales. Rien à redire non plus du côté des acteurs qui livrent des performances très justes. Pas encore dans la cour des grands Aussi divertissante soit elle, la série compte quelques défauts qui la font trébucher à quelques pas d'entrer dans la cour des grands. Il faudra par exemple repasser pour l'originalité du scénario. L'idée de commettre le braquage du siècle sans bavure -mais qui va bien sûr déraper- ne date vraiment pas d'hier et la série espagnole ne saisit pas l'opportunité pour révolutionner le modèle. Les retournements de situation restent prenants, mais ils sont systématisés et finissent par lasser. Après quelques heures de visionnage, il apparaît clair que chaque cliffhanger en fin de chapitre n'est en fait pas aussi dramatique qu'il en a l'air et qu'il a surtout été soigneusement anticipé par le Professeur. On ne s'attardera pas non plus trop longtemps sur l'histoire d'amour entre malfaiteurs qui vient mettre des bâtons dans les roues du plan qui se voulait si bien huilé. Cette passion un peu creuse semble davantage servir d'élément perturbateur que de réelle trame secondaire. Mais ces petits bémols s'oublient vite, surtout face à la pénurie d'épisodes inédits venant des États-Unis, où de nombreuses séries sont actuellement en pause à cause des J. Et ce n'est pas tous les jours que cela arrive.